Retrouver la douceur de ce matin au soleil, là-bas dans l’île entre deux mers
Croire que demain ce sera possible, d’y retourner
Gommer les imperfections qui m’ont fait trébucher
Oublier l’appréhension qui donne à tituber
Savoir renoncer à l’oubli, qui sans cesse harcèle méninges, valvules et pores.
Caresser l’espoir, chérir l’avenir pour qu’adviennent ces jours meilleurs.
Mais remercier, oui, dire je t’aime, encore, avancer un pied après l’autre, main tendue aussi, le cœur prêt à battre en unisson et harmonie.

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